Mycoses vaginales

Dernière mise à jour le : 17 août 2024
Révision médicale par : Xavier Gruffat, pharmacien


Résumé

candidoses vaginales résuméLa mycose vaginale, également connue sous le nom de candidose vaginale, est causée par des infections fongiques (Candida albicans) au niveau des parties intimes de la femme suite à une altération de la flore vaginale. La mycose vaginale est une vaginite, c’est-à-dire une inflammation du vagin et d’une partie de la vulve.
Les mycoses vaginales peuvent être favorisées par divers facteurs de risque tels que des changements hormonaux, une grossesse (souvent au 3ème trimestre), des maladies chroniques (diabète, troubles de la thyroïde), la prise de certains médicaments (antibiotiques, pilule contraceptive) ou encore le stress.
Les symptômes typiques sont des démangeaisons sévères ou une sensation de brûlure devenant souvent plus intense lors de la miction, des pertes vaginales (blanchâtres et granuleuses, inodores) et des rougeurs vulvaires.
La thérapie médicamenteuse implique l’utilisation de traitements antifongiques comme le clotrimazole sous forme de crème ou d’ovules à introduire dans le vagin. Dans certains cas, le médecin peut prescrire un médicament antifongique par voie orale comme le fluconazole.

candidoses vaginales planteIl existe des plantes médicinales pour soigner, en tout cas en complément, cette forme de mycoses comme l’arbre à thé (Tea Tree), le calendula ou l’échinacée.
Pour prévenir les mycoses vaginales il est conseillé de toujours sécher et nettoyer ses parties intimes d’avant en arrière, afin de ne pas véhiculer des micro-organismes de l’anus vers la région vaginale. En cas de mycose vaginale il est très important d’utiliser un préservatif lors de tout rapport sexuel.
Il est également recommandé d’adopter un mode de vie sain: réduire le stress, faire de l’exercice et suivre un régime alimentaire équilibré.

Il ne faut pas confondre la mycose vaginale avec la vaginose bactérienne. 

Définition

candidoses vaginales définitionsLes mycoses vaginales, aussi appelées candidose vaginale, sont des contaminations provoquées par des champignons, la plupart du temps (85% à 90% des cas1) provoquée par la levure Candida albicans, au niveau de la zone intime. Il s’en suit une inflammation du vagin. La mycose vaginale peut aussi toucher la vulve, soit les petites et grandes lèvres (organes génitaux externes).
Il ne s’agit pas d’une maladie liée à un manque d’hygiène mais d’une infection due à une perturbation de la flore vaginale naturelle dont plusieurs facteurs peuvent en être la cause (lire davantage ci-dessous).

Micro-organismes
Il faut savoir que la muqueuse vaginale, constituée de couches de cellules aplaties et étroitement liées, est densément colonisée par des micro-organismes comme au niveau de la muqueuse gastro-intestinale (microbiote intestinale). Il peut arriver, suite à certaines variations, que l’équilibre qui régit la coexistence entre les différents micro-organismes composant la flore vaginale se rompt. En conséquence certains micro-organismes comme le Candida albicans se multiplient de façon anormale provoquant une infection au niveau vaginal ou de la vulve (petites et grandes lèvres).

Maladie chronique
On parle de mycose vaginale récidivante (ou chronique) si on observe quatre épisodes ou plus par an.

N’est pas une MST
La plupart des spécialistes ne considèrent pas la mycose vaginale comme une maladie sexuellement transmissible (MST), bien qu’une contamination au partenaire lors d’un rapport sexuel soit possible. La transmission est néanmoins peu fréquente surtout si l’homme est en bonne santé.

Epidémiologie

Les mycoses vaginales touchent de très nombreuses femmes, près de 75% des femmes seraient concernées au moins une fois dans leur vie par cette infection fongique2.

Mycoses vaginales à répétition
On estime que 5% à 8% de toutes les femmes souffrent de mycoses vaginales à répétition. L’origine proviendrait d’un système immunitaire incapable de développer une immunité performante contre les infections fongiques.

Causes

En général, les mycoses vaginales se développent suite à une variation au niveau des micro-organismes comme les bactéries et champignons de la flore vaginale, ce qui peut mener à l’apparition de mycoses.

Causes physiologiques
Au niveau physiologique et en situation normale, les bactéries lactiques (lactobacilles) transforment le glucose provenant des cellules de la muqueuse vaginale en acide lactique. Il s’en suit un abaissement du pH vaginal. Ce milieu acide empêche le développement de germes pathogènes. En situation normale (pH vaginal acide) les bactéries lactobacilles se développent en équilibre avec les levures. Mais dans certaines situations, cet équilibre est rompu, il s’en suit une diminution de l’acide lactique et une augmentation du pH menant au développement de levures pathologiques comme Candida albicans en quantité très importante. Si les levures deviennent trop nombreuses la muqueuse vaginale réagit par l’apparition de signes inflammatoires (symptômes).

Candida albicans
Sachant que les mycoses vaginales sont provoquées par des champignons (en général – environ 85 à 90% des cas par la levure Candida albicans), certains facteurs peuvent favoriser le développement de cette levure en excès. En plus de Candida albicans, plus rarement d’autres espèces de candida telles que Candida glabrata ou Candida krusei peuvent  mener à une mycose vaginale.
Il faut savoir que la levure Candida albicans est toujours présente dans la région vaginale mais en petite quantité.

Facteurs de risque
Voici plusieurs facteurs de risque des mycoses vaginales :

– des variations hormonales (règles). Remarque : les femmes ménopausées (qui ne prennent pas d’hormones comme les oestrogènes) et les filles qui n’ont pas encore eu leur première menstruation sont moins touchées par les mycoses vaginales.

candidoses vaginales causes

– la grossesse (souvent au 3ème trimestre). Pendant cette période de la grossesse on observe une variation en hormones oestrogènes modifiant le milieu vaginal et le rendant plus favorable au développement du Candida. En cas de mycoses pendant la grossesse, il est préférable de consulter un médecin et d’éviter l’auto-médication.

– le diabète (l’augmentation du glucose dans les tissus engendre des conditions plus favorables au développement du Candida).

– la prise de médicaments (surtout antibiotiques et médicaments qui fragilisent le système immunitaire comme les corticoïdes3). Les antibiotiques peuvent changer le pH au niveau vaginal et augmenter le nombre de Candida albicans.

– l’affaiblissement du système immunitaire (HIV-Sida, transplantation, certains médicaments).

– des troubles de la glande thyroïde.

– le stress (lire aussi à ce sujet le témoignage d’une patiente).

– la prise de la pilule.

– une mauvaise hygiène locale, par exemple lorsque vous allez aux toilettes, il faut nettoyer la zone intime de l’avant vers l’arrière (du vagin vers l’anus) pour éviter de contaminer le vagin avec des champignons provenant des intestins.

– une hygiène excessive dans la zone intime.

– des habits qui serrent trop ou sont en matière synthétique (ne laissant pas transpirer).

– des habits mouillés (ex. port prolongé d’un maillot de bain mouillé en été)

– l’âge (les sujets âgés sont plus susceptibles de développer une mycose vaginale).

– une infection dans une autre région du corps (le système immunitaire “travaille” trop et les mycoses peuvent se développer plus facilement).

– l’activité sexuelle, même si elle peut se produire chez les femmes sexuellement peu actives, elle est plus fréquente chez les femmes sexuellement actives. Toutefois, comme on l’a vu plus haut dans ce dossier la candidose n’est pas considérée comme une maladie sexuellement transmissible (MST).

– une alimentation non équilibrée

Remarque : on distingue parfois les facteurs de risque dits endogènes (ex. une maladie comme le diabète, des tumeurs, la grossesse) et des facteurs de risque dits exogènes (ex. prise d’antibiotiques, traitement hormonal,etc.)4.

Symptômes

Les symptômes peuvent varier d’intensité d’un cas à l’autre, mais en général ils sont toujours les mêmes et les femmes qui ont déjà souffert de cette infection reconnaîtront facilement les symptômes.

Lors de mycose vaginale (candidose vaginale), des démangeaisons et rougeurs apparaissent au début. Puis des brûlures dans le vagin, des douleurs et des pertes blanches (voire jaunâtres) souvent inodores sont souvent présentes. Remarquons que lors d’infections bactériennes, les pertes au niveau vaginal ont souvent une forte odeur désagréable de poisson. Une certaine rougeur dans les parties génitales (vulve) et une douleur au niveau du vagin peuvent également apparaître lors de mycoses vaginales.

Pour résumer on peut relever 3 symptômes typiques de la mycose vaginale :

1. forte démangeaisons (prurit), parfois douleurs ou brûlures (en général plus important pendant la miction) au niveau du vagin (son entrée) et de la vulve (lèvres) ;

2. pertes vaginales : pertes blanchâtres et granuleuses, souvent inodores, en latin Fluor vaginalis ;

3.  rougeurs ou gonflement des tissus, en particulier au niveau de la vulve.

Notons que les douleurs lors de mycoses vaginales peuvent être augmentées par la miction ou pendant des rapports sexuels.

Autre maladie : 
Attention, des démangeaisons ou des douleurs au niveau du vagin ne sont pas forcément toujours le signe d’une mycose vaginale, bien au contraire, ces signes peuvent également être les symptômes : d’infections bactériennes, d’un herpès génital, d’une allergie, etc.
Seul votre médecin peut faire un diagnostic exact et vous proposer le meilleur traitement en fonction de la maladie ou infection trouvée.

Diagnostic

Le diagnostic des mycoses vaginales se fait par un examen médical et en particulier par la collecte de sécrétions (vaginales) avec un examen direct au microscope et de la culture.

Ne pas commencer le traitement avant le diagnostic médical, car une mauvaise utilisation des médicaments peut aggraver les symptômes.

Tests d’auto-diagnostic 
Il existe sur le marché toujours plus de tests d’auto-diagnostic en cas de mycoses vaginales. Certains tests sont notamment capables d’identifier la présence de Candida albicans et de Gardnerella vaginalis.  En Suisse on peut notamment citer le test d’auto-diagnostic Gyno-Canestest de la marque Bayer qui permet de savoir si l’infection vaginale est provoquée par des bactéries ou par des champignons (mycose). Le test de Bayer mesure notamment le pH dans la muqueuse vaginale.
Demandez conseil dans votre pharmacie pour davantage d’informations.

Traitements

En cas de symptômes légers à modérés et d’épisodes peu fréquents de mycose vaginale, un médicament vaginal (un imidazole) ou oral (fluconazole en prise unique) constitue le traitement le plus courant. Pour les cas plus graves, un traitement en prise orale (ex. à base de fluconazole) pendant plusieurs jours ou semaines peut être prescrit.

Antifongiques en application locale, par voie intravaginale (ex. ovule, crème)
On utilise en général des médicaments appelés imidazole (antifongiques azolés) : en particulier le clotrimazole, à utiliser sous forme de crème vaginale (ex. Gyno-Canesten® Crème vaginale, Corisol® Crème) ou d’ovule (ex. Gyno-Canesten® Vaginalettes) à introduire dans le vagin ainsi que des comprimés également à introduire dans le vagin. L’éconazole est un autre imidazole utilisé notamment en Suisse (dans Gyno-Pevaryl®) disponible sous forme d’ovule vaginal ou de crème. D’autres molécules peuvent être utilisées comme le miconazole (surtout utilisé aux Etats-Unis contre les mycoses vaginales, dans Monistat 3) ou le terconazole.
Le cliclopiroxolamine (par exemple dans Dafnegil®) utilisé aussi parfois dans le traitement des mycoses vaginales appartient à la famille des hydroxypyridones, il présente des effets fongicides et antibactériens. Le cliclopiroxolamine est utilisé sous forme de crème vaginale ou d’ovules vaginales (une combinaison des deux formes galéniques est possible).

Antiseptiques
La thérapie de la mycose vaginale peut aussi inclure des médicaments à base d’hexétidine (Vagi-Hex®) sous forme de comprimés vaginaux ou de povidone iodée (Betadine® ovules vaginaux). Ils agissent comme antiseptiques. Toutefois, la povidone iodée est moins recommandée de nos jours, car on estime qu’elle favorise une destruction de la flore vaginale et peut mener à des allergies5. En cas d’utilisation de povidone iodée, il est recommandé d’utiliser en même temps un traitement qui rétablit la flore vaginale (ex. Gynoflor®, lire aussi ci-dessous).

Antifongiques en prise orale (ex. comprimé)
– Dans certains cas, le médecin peut prescrire un traitement par voie orale (comprimé) et en dose unique à base de fluconazole. Dans les cas plus compliqués, il peut être nécessaire de prendre une deuxième dose 72 heures (trois jours) après la première dose, voire parfois même jusqu’à une périoe de 2 semaines6. Le fluconazole en prise orale (150 mg en dose unique) est le médicament de première intention au Royaume-Uni et en France contre les mycoses vaginales7. Attention, le fluconazole est contre-indiqué chez la femme enceinte8.
– L’itraconazole est aussi parfois utilisé en prise orale lors de mycose vaginale.

Remarque sur l’efficacité des traitements : 
En général les symptômes de la mycose vaginale disparaissent en quelques jours après la prise de médicaments (antifongiques).

Comparaison entre les traitements : 
Le fluconazole en prise orale (en dose unique) mène aux mêmes résultats que l’application topique ou externe de clotrimazole9. Autrement dit, les antifongiques azolés (dérivés azolés) qu’ils soient utilisés sous forme locale (intravaginale en particulier) ou en prise orale ont la même efficacité clinique, selon une revue systématique publiée en 201510.

Médicaments préventifs – rétablissement de la flore vaginale : 
– En Suisse, Gynoflor® est un médicament sous forme de comprimé vaginal, qui contient des principes actifs identiques à certaines substances se trouvant naturellement dans le corps (bactérie L. acidophilus). Gynoflor s’introduit dans le vagin et est utilisé pour le rétablissement de la flore vaginale après un traitement antibiotique ou pour lutter contre les infections fongiques ainsi que dans le traitement de pertes blanches et lors de certaines infections vaginales.
– En Suisse, Softigyn® est un médicament à utiliser sous forme de capsule vaginale. Ce médicament contient du Lactobacillus plantarum 17630 comme principe actif. Cette bactérie, normalement présente dans le vagin d’une femme en bonne santé, empêche le développement d’autres bactéries pouvant causer des maladies.

Utilisation pendant la grossesse et allaitement :
Pour une éventuelle utilisation pendant la grossesse et l’allaitement de médicaments antifongiques ou antiseptiques pour soigner les mycoses vaginales, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien qui disposent d’information (littérature) professionnelle à ce sujet. Lire aussi : tampon yaourt qui peut être utilisé pendant la grossesse.

Plantes médicinales (en complément)

Il existe des plantes médicinales permettant d’obtenir de bons résultats lors de mycoses vaginales, ils peuvent souvent agir en complément des traitements classiques.

– L‘arbre à thé (Tea tree), à utiliser de préférence sous forme d’ovule.

– Le calendula (souci), à utiliser de préférence sous forme d’ovule.

– La citronnelle, sous la forme d’huile essentielle en combinaison ou non avec les traitements conventionnels.

– L’échinacée, selon la Mayo Clinic (institution américaine de référence) la prise de suppléments à base d’échinacée associée à une crème antifongique aurait un effet préventif sur les mycoses vaginales chroniques.

– La lavande, en général en huile essentielle. Appliquez par exemple quelques gouttes de lavande à l’intérieur de votre culotte afin de diminuer les démangeaisons.

Remède naturel (en complément)

Tampon au yogourt

Bons conseils

yogourt– L’utilisation d’un mélange de miel et de yaourt, par voie topique dans le vagin, peut aider dans le traitement des mycoses vaginales, en particulier en cas de grossesse. Découvrez comment préparer ce remède naturel : tampon yaourt

– Essayez de vous reposer et de vous relaxer, en effet le stress pourrait être un facteur déclenchant important. Se reposer permet de renforcer le système immunitaire et par conséquent de diminuer l’apparition de mycoses vaginales.

– Evitez d’avoir des rapports sexuels pendant la mycose vaginale (en tout cas pendant les phases aiguës), cela permet à la muqueuse vaginale de guérir complètement et d’éviter la contamination à votre conjoint. En cas de rapport sexuel, utilisez un préservatif.

– Pour apaiser l’inconfort des mycoses vaginales et dans l’attente que les médicaments agissent il est possible d’appliquer une compresse froide (ex. gant de toilette humide11) au niveau des lèvres de la vulve.

– Ne vous grattez pas. Prenez par exemple un bain frais qui aide à soulager les démangeaisons.

Prévention

– Vous pouvez adopter une alimentation quotidienne riche en yaourt (yogourt), en particulier à base de Lactobacillus acidophilus, cet aliment aurait un effet préventif sur les mycoses vaginales prouvé scientifiquement. A la place vous pouvez aussi prendre des probiotiques en poudre ou gélule (capsule).

– Nettoyez les parties génitales externes (vulve) à l’eau claire ou à l’aide d’une lotion nettoyante à pH neutre. Evitez d’utiliser du savon lors de la toilette intime, privilégiez des produits à pH neutre.

– Ne prenez pas de douches intimes trop fréquemment, le vagin n’a pas besoin de plus d’hygiène que le reste du corps et les douches intimes favorisent un déséquilibre de la flore vaginale. Une hygiène excessive peut même affaiblir la flore vaginale. Évitez d’utiliser des savons parfumés ou alcalins ou des sprays intimes. Une douche intime quotidienne à base d’acide lactique peut toutefois s’avérer utile.

– Evitez de porter des vêtements qui serrent trop, qui sont en matière synthétique ou qui ne laissent pas assez respirer. Il est aussi conseillé d’utiliser des sous-vêtements et il est préférable de dormir sans culotte. Privilégiez des sous-vêtements en coton. Cette fibre naturelle “respire” et l’humidité ne reste pas en place.

– Evitez l’utilisation de tampons périodiques, en particulier pendant les règles et pendant la nuit, dans ces cas privilégiez les serviettes hygiéniques.

– Lavez le linge et notamment les sous-vêtements à au moins 60 °C pour tuer les micro-organismes (champignons par exemple).

– Comme en prévention des cystites, il est toujours conseillé de s’essuyer et de nettoyer la zone intime d’avant en arrière. C’est-à-dire de la vulve à l’anus et non le contraire, pour éviter de transmettre des bactéries de la région anale vers la vulve.

– L’utilisation d’un préservatif pendant les rapports sexuels pourrait avoir un effet préventif sur les mycoses vaginales. A utiliser en particulier chez les femmes qui souffrent fréquemment de ce problème. Son utilisation est aussi importante afin d’éviter la contamination du partenaire et par conséquent d’être réinfecté (risque d’un effet rebond).

– Changez rapidement de vêtement, notamment les maillots de bain, s’ils sont mouillés, car cet environnement humide favorise le développement des mycoses. , Bref, enlevez votre maillot de bain et vos vêtements de sport mouillés au plus vite, soit immédiatement après le bain ou l’activité sportive.

– Evitez de prendre des bains ou jacuzzi trop chauds. Prenez plutôt un bain frais qui soulage les démangeaisons.

Lire aussi d’autres maladies pouvant toucher la région intime : poux du pubis, MST

Noms anglais : 
Vaginal yeast infection, vaginal candidiasis

Crédits photos & Infographies : 
Adobe Stock, Pharmanetis Sàrl

Historique de la mise à jour – Dossier revu médicalement :
– 17.08.2024 (par Xavier Gruffat, pharmacien)
– 26.09.2023 (par Xavier Gruffat, pharmacien)

Références scientifiques et bibliographie :

  1. Article du journal édité par l’Université de Bâle (Suisse), [email protected], édition de mi-novembre 2021 consacrée aux mycoses vaginales
  2. SANJEEV NANDA (M.D.), Mayo Clinic a-z Health Guide, WHAT YOU NEED TO KNOW ABOUT SIGNS, SYMPTOMS, DIAGNOSIS & TREATMENT, 2nd edition, Rochester, Mayo Clinic Press, 2023.
  3. Livre en anglais : Mayo Clinic – Book of Home Remedies – Second Edition, Cindy A. Kermott, Martha P. Millman, 2017, Mayo Clinic
  4. Article du journal édité par l’Université de Bâle (Suisse), [email protected], édition de mi-novembre 2021 consacrée aux mycoses vaginales
  5. Article du journal édité par l’Université de Bâle (Suisse), [email protected], édition de mi-novembre 2021 consacrée aux mycoses vaginales
  6. SANJEEV NANDA (M.D.), Mayo Clinic a-z Health Guide, WHAT YOU NEED TO KNOW ABOUT SIGNS, SYMPTOMS, DIAGNOSIS & TREATMENT, 2nd edition, Rochester, Mayo Clinic Press, 2023.
  7. European Congress of Clinical Microbiology and Infectious Diseases 2022, via Santé Magazine, Juillet 2022
  8. SANJEEV NANDA (M.D.), Mayo Clinic a-z Health Guide, WHAT YOU NEED TO KNOW ABOUT SIGNS, SYMPTOMS, DIAGNOSIS & TREATMENT, 2nd edition, Rochester, Mayo Clinic Press, 2023.
  9. “100 wichtige Medikamente” – Infomed (2020)
  10. Martin Lopez JE. Candidiasis (vulvovaginal). BMJ Clin Evid. 2015 Mar 16;2015:0815. PMID: 25775428; PMCID: PMC4360556.
  11. Livre en anglais : Mayo Clinic – Book of Home Remedies – Second Edition, Cindy A. Kermott, Martha P. Millman, 2017, Mayo Clinic

Lire aussi :


Informations sur la rédaction de cet article et la date de la dernière modification: 17.08.2024
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