Coqueluche

Dernière révision médicale le : 14 octobre 2024
Auteur : Xavier Gruffat, pharmacien


Résumé sur la coqueluche

coqueluche résumé

La coqueluche est une maladie respiratoire infectieuse causée par la bactérie Bordetella pertussis1. La coqueluche, parfois aussi appelée pertussis, est une maladie potentiellement très grave si elle survient chez les nouveau-nés et les petits enfants qui ne sont pas encore immunisés contre cette maladie, principalement les nouveau-nés de moins de 2 à 3 mois. Car ceux-ci n’ont pas encore reçu leur première dose du vaccin. Les nouveau-nés ont des voies respiratoires très fines et elles peuvent facilement être bouchées par le mucus provoqué par cette infection. Dans certains cas ils n’arrivent tout simplement plus à respirer.

La coqueluche est une maladie hautement contagieuse, elle se transmet d’un individu à l’autre par les voies respiratoires et notamment par la toux. Le symptômes de la coqueluche peuvent durer plusieurs semaines.

La vaccination est essentielle et au centre de la stratégie pour limiter la mortalité infantile surtout dans des pays en voie de développement. Dès janvier 2018, la vaccination contre la coqueluche est devenue obligatoire en France chez les petits enfants nés en 2018 et après (lire aussi ci-dessous sous Vaccination).

Définition

La coqueluche est une maladie infectieuse principalement causée par la bactérie Bordetella pertussis, cette dernière produit une toxine provoquant les symptômes de la coqueluche : toux, rhume, etc.

La coqueluche est une maladie qui peut durer plusieurs semaines et s’avérer très fatigante. En effet le patient peut ressentir de violentes quintes de toux ininterrompues, chez le nouveau-né des problèmes de respiration avec apnée peuvent même se développer.

Le nouveau-né a des voies respiratoires très fines et celles-ci peuvent facilement être bouchées par le mucus.

Avant la mise au point du vaccin, la coqueluche était considérée comme une maladie infantile. Aujourd’hui, la coqueluche touche principalement les enfants trop jeunes pour avoir suivi la totalité du cycle de vaccination, ainsi que les adolescents et les adultes dont l’immunité s’est affaiblie2.

Epidémiologie

Historique de la maladie et taux de mortalité
– La vaccination des enfants à partir de 2 mois dès les années 1940 a permis de diminuer fortement l’incidence de la maladie et la mortalité des nourrissons. Jusqu’au début des années 1950, on comptait chaque année des millions de cas de coqueluche à travers le monde avec de nombreux décès de nourrissons. La première mise sur le marché du vaccin contre la coqueluche date de 19263, soit presque 20 ans avant le début d’une vaccination généralisée à de nombreux petits enfants.
– Mais malgré une couverture vaccinale élevée chez les enfants, on observe depuis les années 1980 et 1990 une augmentation continue des cas tant aux Etats-Unis, en Australie, au Canada que dans certains pays européens, surtout chez les enfants de plus de six ans, les adolescents et les adultes. L’incidence reste cependant toujours clairement inférieure par rapport à l’ère pré-vaccinale.
– Selon l’OMS on estime que chaque année 600’000 enfants meurent de coqueluche sur 60 millions d’enfants atteints.
– En 2014, il y avait plus de 32’000 cas de coqueluche enregistrés aux Etats-Unis, selon un communiqué de presse de la Boston University School of Medicine datant de septembre 2017.

Coqueluche en Suisse
– En Suisse, une cinquantaine d’enfants sont hospitalisés annuellement, la plupart étant des bébés. En tout, près de 4’000 personnes sont infectées par la coqueluche en Suisse chaque année. – En 2012, quelque 7’400 cas de coqueluche ont été déclarés en  Suisse, 57% de plus qu’en 2011. On observe clairement une augmentation du nombre de cas de coqueluche pendant ces dernières années.
– En Suisse (année 2012), les adolescents constituent, après les jeunes enfants, le groupe le plus touché par la maladie, selon l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).
– Quatre décès de nourrissons dus à la coqueluche ont été enregistrés au cours des quinze dernières années en Suisse [source: ATS, février 2013].
– Selon la RTS, un bébé d’un mois est décédé de la coqueluche aux HUG à Genève (Suisse)  en octobre 2015.

Coqueluche aux Etats-Unis
Du début janvier 2024 jusqu’au 5 octobre 2024, les cas de coqueluche aux Etats-Unis étaient de près de 18’0004, il s’agit d’une forte augmentation en comparaison du début des années 2020.

Perte d’immunité et vaccination
– L’une des raisons de cette augmentation du nombre de cas de coqueluche en Suisse et dans le monde est la durée limitée de l’immunité après une vaccination complète dans l’enfance. Pour une efficacité initiale de 90%, seulement 42% de personnes seraient protégées cinq ans après la dernière dose, selon certaines études.
– Une autre raison pourrait venir du vaccin lui-même. Selon une étude réalisée par l’université Boston University School of Public Health,  l’augmentation du nombre de cas de coqueluche dans les années 2010 notamment aux Etats-Unis viendrait de l’utilisation de vaccins dits acellulaires (en anglais : acellular vaccines) utilisés depuis les années 1990. Ceux-ci n’auraient pas la même efficacité que les vaccins à cellule entière (en anglais : whole-cell vaccines), utilisés depuis le début de la vaccination contre la coqueluche. L’utilisation de vaccins acellulaires est apparue, car les vaccins à cellule entière ont soulevé des préoccupations concernant des événements indésirables neurologiques potentiels. Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques américains ont notamment utilisé des modèles mathématiques de la réponse immunologique à ces 2 types de vaccins dans des expériences réalisées sur des animaux. Cette étude a été publiée online le 25 août 2017 dans le journal scientifique F1000 Research (DOI : 10.12688/f1000research.11654.1).

Causes

La coqueluche est la plupart du temps provoquée par la toxine produite par la bactérie Bordettela pertussis (aussi nommée bacille de Bordet-Gengou).

Dans certains cas (5 à 20%) la coqueluche peut être provoquée par Bordetella parapertussis. Ce type de coqueluche est plus bénin que la coqueluche provoquée par Bordettela pertussis.

Transmission de la coqueluche
La transmission se fait d’un individu à l’autre (ex. adulte à adulte mais aussi adulte à bébé ou petit enfant) par les gouttelettes au niveau des voies respiratoires lors de toux.

Personnes à risque en cas de coqueluche
– Les personnes à risque sont surtout les bébés et les petits enfants. On estime que les enfants de moins de 6 mois sont particulièrement concernés par des cas de coqueluche graves (avec complications comme pneumonie et risque de décès).
– Les nouveau-nés de moins de 2 à 3 mois ne sont pas immunisés contre la coqueluche (la première dose du vaccin est donnée à 2 mois) et peuvent donc plus facilement développer cette maladie infectieuse. A cet âge le risque de complication de coqueluche est élevé, car leurs voies respiratoires sont très fines et peuvent se boucher par le mucus.
Lire aussi ci-dessous sous Traitement (en particulier dans la rubrique vaccination).

Symptômes

Temps d’incubation de la coqueluche
Une fois que l’organisme (en général les voies respiratoires) est en contact avec la bactérie de la coqueluche, il faut compter 7 à 10 jours pour voir apparaître les premiers symptômes.

Symptômes de la coqueluche
Phase modérée : 
– Après le temps d’incubation on observe en général une toux pas trop prononcée, une légère fièvre et un rhume avec un écoulement nasal5. Ces symptômes sont proches d’un refroidissement. Les yeux peuvent aussi être rouges ou larmoyants.
Phase plus grave : 
grippe complication– Quelques jours après ces symptômes légers on peut observer une toux bien plus agressive ou importante et continue (nuit et jour) avec de véritables quintes de toux. On parle parfois de “chant du coq” pour qualifier cette toux particulière. Ces quintes peuvent être suivies d’une pause respiratoire menant jusqu’à une cyanose. Cette toux peut même provoquer dans certains cas des hémorragies dans les yeux et même dans le cerveau.
– Chez le nourrisson la coqueluche peut mener à des apnées (arrêt de la respiration) sans que la toux soit présente. Un visage rouge ou bleu peut se manifester. Une autre complication de la toux chez le nourrisson est l’évolution vers une pneumonie (une grave infection des poumons). Cette toux ininterrompue peut durer de 2 à 4 semaines. Par la suite et donc après cette période de toux violente par quintes, une toux plus légère ou isolée peut encore se manifester pendant quelques semaines. Une fatigue extrême peut aussi apparaître6

Remarques importantes sur les symptômes de la coqueluche :
– Il faut tout d’abord noter que les symptômes peuvent fortement varier d’un individu à l’autre, en général chez l’adulte les symptômes sont plus légers ou en tout cas, car l’organisme est plus résistant, les conséquences sont presque toujours bénignes.
Par contre chez le petit enfant et surtout chez les enfants de moins de 6 mois les conséquences d’une coqueluche peuvent être très graves menant jusqu’au décès. Pour résumer, plus la coqueluche touche des sujets jeunes et plus elle est potentiellement dangereuse.
– Il faut savoir que la vaccination contre la coqueluche est obligatoire mais que souvent les jeunes enfants n’ont pas encore reçu toutes les doses du vaccin et sont donc non ou moins immunisés face à la coqueluche (surtout de la naissance à l’âge de 2 mois). Le risque est donc élevé si un jeune enfant est en contact avec un adulte souffrant de coqueluche. C’est pourquoi seulement une vaccination généralisée de l’ensemble de la population fera diminuer le nombre de cas de coqueluche chez les petits enfants. Autrement dit, un adulte correctement immunisé avec toutes les doses de vaccins correctement prises y compris les rappels ne développera jamais la maladie et empêchera de fait la transmission à un petit enfant n’ayant pas encore reçu toutes ses doses de vaccin. Des vies peuvent être sauvées en étant toujours à jour avec sa vaccination.
– Lors de coqueluche, la toux peut durer jusqu’à 42 jours7

Origine des symptômes de la coqueluche :
Il est intéressant de noter que la multiplication de la bactérie provoquant la coqueluche au niveau des voies respiratoires diminue le bon fonctionnement de la trachée et des bronches. La toux est une conséquence ou un symptôme de ce problème.

Diagnostic

Le diagnostic de la coqueluche peut se faire en observant les signes cliniques : toux sur plusieurs jours puis semaines, toux particulière avec quintes, etc.
Afin d’être sûr qu’il s’agit de la coqueluche, le médecin peut faire un examen de laboratoire pour identifier la bactérie de la coqueluche (Bordetella pertussis).

Traitements & Vaccination

Traitement curatif de la coqueluche

coqueluche antibiotiqueLe principal traitement curatif de la coqueluche repose sur la prise d’antibiotiques. En effet, les antibiotiques sont efficaces contre les infections bactériennes comme c’est le cas dans cette maladie. Les antibiotiques choisis sont surtout des macrolides. Un objectif important dans la prise des antibiotiques est de réduire la contagiosité.

Chez les petits enfants et nouveau-nés, comme la coqueluche peut être potentiellement très grave, il est conseillé de traiter cette maladie en milieu hospitalier pour mieux contrôler l’état du petit patient. Il s’agira d’isoler le malade au maximum pour éviter toute contamination.

Il faudra déclarer tout cas de coqueluche aux autorités sanitaires de votre pays.

Traitement de la toux
Selon l’institution médicale américaine de référence Mayo Clinic, les traitements pour soigner la toux sont peu efficaces et sont à éviter. A la place, il faut privilégier certaines mesures comme boire beaucoup, se reposer ou manger des petites portions (lire aussi sous Bons conseils ci-dessous pour plus d’informations).

Traitement prévention de la coqueluche – Vaccination contre la coqueluche
Le meilleur moyen pour lutter contre cette maladie est la vaccination de toute la population et en particulier les petits enfants.

Vaccination obligatoire en France (dès 2018)
La vaccination contre la coqueluche est obligatoire pour tous les enfants nés dès l’année 2018 en France. En effet, dès le 1er janvier 2018 le nombre de vaccins obligatoires en France pour les petits enfants est passé de 3 à 11. Avant cette date, seulement 3 vaccins étaient obligatoires contre les 3 maladies suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite. Depuis début 2018, les Français et résidents français nés en 2018 ou après devront en plus des 3 vaccins mentionnés ci-dessus se faire vacciner obligatoirement contre : la rougeole, les oreillons, la rubéole, la coqueluche, l’hépatite B, le méningocoque, le pneumocoque et la bactérie Haemophilus influenza.

Schéma de vaccination contre la coqueluche (Suisse)
En général, on conseille une vaccination contre la coqueluche (appelé aussi pertussis) à partir de l’âge de 2 mois en faisant 3 injections avec chaque fois un mois d’intervalle. En Suisse le schéma est légèrement différent : vaccination en 3 doses à 2, 4 et 12 mois (la dose à 12 mois est considérée comme un “booster”). Mais un schéma de vaccination accéléré en trois doses reprenant donc le schéma classique à 2, 3 et 4 mois est recommandé pour les nourrissons qui fréquenteront une structure d’accueil collectif comme une crèche, une maman de jour ou groupe de jeu avant l’âge de 5 mois.). Notons qu’avant mars 2019, le schéma de vaccination était de 2, 4 et 6 mois (et pas 2, 4 et 12 mois).
En Suisse, le vaccin contre la coqueluche chez les petits enfants est effectué avec un seul vaccin hexavalent (protégeant contre 6 maladies :  diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite, l’Haemophilus influenzae de type B et l’hépatite B). Dans sa première année de vie le petit enfant aura reçu 3 doses de vaccin.
Selon le “Plan de vaccination suisse 2019”, le 1er rappel du vaccin hexavalent (qui inclut le vaccin contre la coqueluche) est effectué entre 4 et 7 ans. Un second rappel peut être effectué plus tard, à l’adolescence (demandez conseil à votre médecin).

Variation par pays
Attention le schéma de vaccination peut varier légèrement en fonction de chaque pays et du type de vaccin, parlez-en avec votre médecin ou pharmacien pour savoir le schéma exact de vaccination dans votre région ou pays.

3ème rappel à l’âge adulte
– On estime qu’un rappel à l’âge adulte est conseillé surtout chez des personnes en contact avec des petits enfants et surtout nourrissons (personnel médical ou futurs parents, dans ce cas la mère doit être vaccinée avant la grossesse ou juste après) pour éviter dans tous les cas la transmission de la coqueluche chez ces petits sujets. Certaines sources estiment que l’efficacité de la vaccination, en général excellente, a toutefois tendance à s’estomper un peu à l’âge adulte, un rappel est donc toujours le bienvenu.
Remarquons aussi que le vaccin de la coqueluche est souvent associé avec un vaccin contre deux autres maladies infectieuses : la diphtérie et le tétanos. On parle alors du vaccin DTP (diphtérie, tétanos et pertussis=coqueluche). En Suisse il est aussi inclus chez les enfants dans un vaccin dit hexavalent (protégeant contre 6 maladies :  diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite, Haemophilus influenzae de type B et hépatite B).
Aux Etats-Unis, l’institution de référence sur la santé Mayo Clinic encourage tous les adultes à se faire vacciner au moins une fois contre la coqueluche, selon un article publié en janvier 2020 (lien fonctionnant le 15.01.2020).

Vaccination coqueluche chez les adultes en Suisse
En Suisse les autorités de santé recommandent depuis février 2012 un rappel supplémentaire du vaccin contre la coqueluche aux jeunes adultes entre 25 et 29 ans, à tous ceux qui seront futurs parents et en particulier les femmes enceintes (on sait que la coqueluche n’est pas dangereuse chez un adulte mais l’est chez un enfant pas encore immunisé, donc éventuellement leur futur enfant), et aussi à tous les adultes régulièrement en contact avec des nourrissons (ex. grands-parents).
Depuis 2017, en Suisse une dose de vaccin contre la coqueluche (dTpa, en anglais : DTaP) est dorénavant recommandée chaque 10 ans chez les adolescents et adultes en cas de contacts réguliers avec des nourrissons de moins de 6 mois.

Grossesse et coqueluche 
En février 2017, le plan de vaccination suisse actualisé précise qu’une dose du vaccin dTpa (qui inclut donc la vaccination contre la coqueluche) est recommandée chez les femmes enceintes pendant chaque grossesse. Cette vaccination est effectuée de préférence au cours du 2ème trimestre (13-26e SG).

Bons conseils

– Chaque personne, enfants et adultes, doit être à jour avec la vaccination de la coqueluche. D’une part pour ne pas attraper la maladie mais surtout pour protéger la société et en particulier les petits enfants qui sont très à risque en cas de coqueluche.
Si un adulte n’a jamais été vacciné contre la coqueluche ou n’est pas à jour (pas de rappels) il devrait se faire vacciner pour éviter de transmettre la maladie à un nouveau-né ou petit enfant. Car si l’adulte est malade il peut facilement transmettre à un petit enfant ou nouveau-né.

– Une personne atteinte de coqueluche devrait s’isoler.

– Il est intéressant de remarquer que la bactérie de la coqueluche est plus active à des températures élevées.

– Boire beaucoup comme par exemple des jus, des soupes, des tisanes ou simplement de l’eau. C’est un conseil particulièrement recommandé chez les enfants pour éviter une déshydratation (qui peut se manifester par des lèvres sèches, une miction peu fréquente ou des pleurs sans larme).

– Se reposer. Une personne souffrant de coqueluche doit beaucoup se reposer, comme pour la plupart des maladies infectieuses, le repos permet de fortifier le système immunitaire.

– Manger en petites portions, privilégier plusieurs petits repas plutôt qu’un grand. Ce conseil est utile pour éviter de vomir après les quintes de toux.

– Maintenir un air pur. Il faudra éviter des toxiques comme le tabac dans votre habitation. Ces irritants peuvent favoriser la toux.

Bien préparer sa visite chez le médecin

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Lire aussi : autres maladies infantiles, tétanos

Noms anglais : 
Pertussis, Whooping Cough

Crédits photos & Infographies : 
Adobe Stock, Pharmanetis Sàrl

Historique de la mise à jour – Dossier revu médicalement :
– 14.10.2024 (par Xavier Gruffat, pharmacien)
– 06.05.2024 (par Xavier Gruffat, pharmacien)
– 30.01.2021 (par Xavier Gruffat, pharmacien)

Références scientifiques et bibliographie :

  1. Article de la Mayo Clinic datant du 14 octobre 2024, Understanding whooping cough with a Mayo Clinic expert, site accédé par Creapharma.ch le 14 octobre 2024 et le lien marchait à cette date
  2. Article de la Mayo Clinic datant du 15 octobre 2020, site accédé par Creapharma.ch le 15 octobre 2020 et le lien fonctionnait à cette date
  3. Dépêche de l’agence de presse AFP, via l’agence de presse suisse Keystone-ATS, le 10 août 2021
  4. Article de la Mayo Clinic datant du 14 octobre 2024, Understanding whooping cough with a Mayo Clinic expert, site accédé par Creapharma.ch le 14 octobre 2024 et le lien marchait à cette date
  5. Article de la Mayo Clinic datant du 14 octobre 2024, Understanding whooping cough with a Mayo Clinic expert, site accédé par Creapharma.ch le 14 octobre 2024 et le lien marchait à cette date
  6. Article de la Mayo Clinic datant du 14 octobre 2024, Understanding whooping cough with a Mayo Clinic expert, site accédé par Creapharma.ch le 14 octobre 2024 et le lien marchait à cette date
  7. Le Figaro, édition papier du 6 mai 2024

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Informations sur la rédaction de cet article et la date de la dernière modification: 14.10.2024
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