Mpox (variole du singe)
Dernière mise à jour le : 17 août 2024
Révision médicale par : Xavier Gruffat, pharmacien
Définition
La variole du singe, appelée désormais par l’OMS mpox (Mpox, Monkeypox ou MPX), est une maladie due à un virus. Le mpox se propage de l’animal à l’homme mais se transmet aussi par contact physique étroit avec une personne infectée par le virus. L’orthopoxvirose simienne ou variole simienne sont d’autres noms donnés à la maladie.
Bref historique
L’agent pathogène a été détecté pour la première fois en 1958 dans un laboratoire danois chez des singes, d’où le nom au début de variole du singe. Cependant, les spécialistes pensent que l’agent pathogène circule en fait chez les écureuils et surtout les rongeurs, les singes étant considérés comme de soi-disant mauvais hôtes. Le virus de la variole du singe (monkeypox) a un réservoir animal, et pas seulement humain, à la différence de la variole (classique).
Le mpox a été découvert pour la première fois chez des humains en 1970 dans l’actuelle RDC (ex-Zaïre), avec la diffusion du sous-type clade 1.
Mpox de 2022
En 2022, une épidémie mondiale, portée par le sous-type clade 2, s’est propagée dans une centaine de pays où la maladie n’était pas endémique, touchant surtout des hommes homosexuels et bisexuels.
Mpox de 2024
L’Organisation mondiale de la santé a déclenché le 14 août 2024 son plus haut niveau d’alerte sanitaire au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique, portée par le sous-type clade 1. L’OMS avait déjà pris une telle décision en 2022, lorsqu’une épidémie de mpox s’était étendue à travers le monde.
Lien avec la variole :
La variole a longtemps été l’une des maladies les plus dangereuses pour l’homme. Une grande partie des personnes touchées par la variole mourait de l’infection.
La maladie de la variole est considérée comme éradiquée depuis 1980, suite à des campagnes de vaccination. Mais un agent pathogène apparenté à la variole, mais plus inoffensif, provoque aujourd’hui une recrudescence inhabituelle de l’infection, c’est la variole du singe (mpox). Comme on ne vaccine plus contre la variole aujourd’hui, on estime que le risque de contagion de la variole du singe est plus élevé.
Epidémiologie
Situation dans le monde
Année 2024
L’épidémie de 2024, partie de la République Démocratique du Congo (RDC) et à la mi-août 2024 circonscrite en Afrique, a ses spécificités, en premier lieu un virus plus contagieux et dangereux qu’en 2022. L’épidémie est provoquée par le clade 1 et par une variante encore plus dangereuse, le clade 1b. Son taux de mortalité est estimé à 3,6%. Un total de 38’465 cas de cette maladie ont été recensés dans 16 pays africains depuis janvier 2022, pour 1456 décès, avec notamment une augmentation de 160% des cas en 2024 comparé à l’année précédente, selon des données publiées la semaine dernière par l’agence de santé Africa CDC.
Année 2022
Il semblerait que l’agent pathogène de la variole du singe se soit déjà propagé dans plusieurs pays occidentaux sans que l’on s’en aperçoive. La plupart des cas sont des jeunes hommes, s’identifiant eux-mêmes comme des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, selon l’ECDC. Au 10 août 2022 près de 28’000 cas1 ont été détectés dans le monde depuis début mai 2022 en dehors des zones endémiques en Afrique.
Décès (Brésil et Espagne)
Trois personnes au total sont décédées de la variole du singe en dehors du continent africain, selon l’OMS. Fin juillet 2022, un décès a été enregistré au Brésil et deux en Espagne. Le 30 juillet 2022 on ne savait pas si le virus de la variole du singe est bien à l’origine de deux de ces trois morts. Au Brésil, un homme de 41 ans, porteur de la variole, est décédé jeudi à Belo Horizonte (sud-est), a annoncé le 29 juillet 2022 le secrétariat d’État à la Santé de l’État du Minas Gerais. Il était «suivi à l’hôpital pour d’autres affections cliniques graves», selon le communiqué. En Espagne, le ministère de la Santé a annoncé vendredi le premier décès d’un patient contaminé par cette maladie, une première en Europe, sans préciser ni la cause, ni la date du décès. Le 30 juillet 2022 on a appris un 2ème décès en Espagne. Cinq décès ont aussi été signalés en Afrique. Ils portent donc à huit le nombre de décès enregistrés dans le monde depuis mai 2022 à la fin juillet 2022.
Situation en Afrique, endémie (1970 et après)
– Jusqu’à présent, les infections par la variole du singe chez l’homme étaient surtout connues dans les régions d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, cette maladie était jusqu’alors circonscrite à une dizaine de pays africains. Le premier cas d’infection par la variole du singe chez l’homme a été enregistré en 1970 en République démocratique du Congo, écrit une équipe internationale de chercheurs dans la revue spécialisée Plos Neglected Tropical Diseases. Le virus s’est ensuite propagé dans d’autres pays d’Afrique, et en 2003, il a été détecté pour la première fois en dehors du continent.
– Au Nigeria, en Afrique de l’Ouest, 15 cas de variole du singe ont été recensés en 2022 entre janvier et fin avril, selon les autorités sanitaires locales. Selon l’OMS, le Nigeria, le Cameroun et la République démocratique du Congo ont connu des flambées récurrentes au cours des cinq dernières années.
Etats-Unis
Au printemps 2003, des cas de variole du singe ont aussi été confirmés aux États-Unis, marquant ainsi la première apparition de cette maladie en dehors du continent africain.
Causes, transmission et contagiosité
Origine virale
La variole du singe est provoquée par un virus. L’agent causal de la variole du singe est le virus de la variole du singe, souvent appelé monkeypox (son nom anglais). Il s’agit d’un virus à ADN de la famille des poxviridae, sous famille des chordopoxvirinae. Le monkeypox appartient au genre des Orthopoxvirus2. Il faut savoir que les virus à ADN sont moins susceptibles de muter que des virus à ARN comme le SARS-CoV-2 (à l’origine de la Covid-19).
Au moins 2 souches du virus, létalité différente :
– On connaît à l’heure actuelle deux souches de virus monkeypox (mpox), comme le résumait bien le média Theconversation.com en mai 2022. La souche dite d’ « Afrique de l’ouest », dont la létalité se situe aux alentours de 1%, sévit au Nigéria, au Libéria, en Sierra Leone, en Côte d’Ivoire. C’est cette souche qu’on retrouve actuellement en Europe et dans les Amériques.
– La deuxième souche, dite « du bassin du Congo », circule dans plusieurs pays d’Afrique comme en République démocratique du Congo (RDC), en République du Congo, en République centrafricaine (RCA), au Gabon et également au Cameroun. Cette seconde souche est associée à des formes cliniques plus sévères, la souche « bassin du Congo » a une létalité de 10%.
– Comme on l’a vu ci-dessus, L’épidémie de 2024, partie de la RDC et à la mi-août 2024 circonscrite en Afrique, a ses spécificités, en premier lieu un virus plus contagieux et dangereux qu’en 2022. L’épidémie est provoquée par le clade 1 et par une variante encore plus dangereuse, le clade 1b. Son taux de mortalité est estimé à 3,6%.
Transmission :
– Variole du singe “historique”
La principale source de transmissions à l’être humain est de l’animal à l’être humain. Mais une transmission interhumaine est aussi possible, bien que plus rare.
– Variole du singe de 2022
Contacts sexuels (chez l’homme) :
La plupart des cas recensés actuellement concernent des hommes qui ont eu des relations sexuelles avec d’autres hommes. Selon une étude publiée en juillet 2022 dans la revue scientifique New England Journal of Medicine, les médecins ayant soigné des cas de variole du singe entre la fin avril et la fin juin 2022 95% résultaient d’un contact sexuel3. Dans cette étude, au total 98% des cas étudiés étaient des hommes homosexuels ou bisexuels. Selon les auteurs de l’étude, la variole du singe n’est pas une infection sexuellement transmissible dans le sens traditionnel du terme; elle peut s’attraper par n’importe quel contact physique proche mais l’étude suggère que la majorité de la transmission jusqu’ici est liée à une activité sexuelle.
Le risque de contagion de la variole du singe est “très faible” dans la population en général mais “élevé” chez les personnes ayant plusieurs partenaires sexuels, a estimé le 22 mai 2022 l’agence de l’Union européenne chargée des maladies4.
Autres moyens de transmission :
Outre les relations sexuelles, des contacts de muqueuses ou de plaies infectées, ou encore de grosses gouttelettes transmises lors d’un face-à-face prolongé sont considérés comme des vecteurs possibles, selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) basé en Suède.
Contagiosité :
Le virus de la variole du singe est considéré comme peu contagieux. Dans le cas de l’accumulation actuelle d’infections, les chaînes d’infection détaillées ne sont pas encore très claires. Pour le premier cas connu en Grande-Bretagne, l’autorité sanitaire UKHSA suppose qu’il est dû à une contamination au Nigeria. La question de savoir s’il y a eu d’autres entrées dans les pays occidentaux depuis les régions africaines reste ouverte. Mais il semble clair que l’agent pathogène a ensuite été transmis à d’autres personnes de manière inhabituelle.
Symptômes
Les principaux symptômes de la variole du singe sont : une fièvre soudaine, de forts maux de tête, des maux de dos, des maux de gorge, de la toux et souvent un gonflement des ganglions lymphatiques. Une éruption cutanée typique de la variole, qui s’étend du visage au corps, est également fréquente. Les lésions typiques de la maladie se concentrent le plus souvent autour des parties génitales dans la variole du singe touchant en 2022 l’Europe et d’autres pays occidentaux (lire aussi le paragraphe ci-dessous montrant des différences de symptômes entre la variole du singe en Europe et en Afrique). Les scientifiques ont observé notamment des plaies dans la bouche, sur la muqueuse anale et des ulcères simples5.
La cécité et les cicatrices défigurantes sont rares et permanentes. L’éruption peut ressembler à la varicelle ou à la syphilis à certains stades de la maladie.
Informations sur les lésions (éruption cutanée) :
Les premières lésions apparaissent dans un premier temps dans la bouche et notamment sur le visage. Puis en l’espace d’une journée, tout le corps est touché, y compris la muqueuse buccale, les organes génitaux ainsi que la paume des mains et la plante des pieds. Des centaines voire des milliers de lésions apparaissent, d’un diamètre de 0,5 à 1 cm6.
Durée des symptômes :
Les symptômes durent souvent de 2 à 4 semaines, en général de 2 à 3 semaines selon l’OMS. La maladie se résout spontanément dans la majorité des cas7.
Temps d’incubation :
Le temps d’incubation est en général de 6 à 13 jours, parfois de 5 à 21 jours. Il s’agit d’un temps d’incubation relativement long. Rappelons que le temps d’incubation est la durée entre l’infection et l’apparition des premiers symptômes.
Gravité de la maladie (souche actuelle) :
Selon l’autorité britannique UKHSA, le variant en circulation du virus de la variole du singe (souche dite d’ « Afrique de l’ouest ») ne provoque généralement que des symptômes légers, mais peut aussi entraîner des évolutions graves. L’épidémiologiste Paul Hunter de l’université d’East Anglia au Royaume-Uni estime qu’il est très peu probable que la maladie soit mortelle dans les pays occidentaux. Mais ce n’est pas impossible, dit-il à la BBC. La souche d’ « Afrique de l’ouest » du virus, présente en Europe et aux Etats-Unis, entraîne la mort d’environ 1% des personnes atteintes en Afrique. Lire aussi ci-dessous sous Complications
Gravité autre variant :
Il existe également un variant d’Afrique centrale (souche dite « du bassin du Congo »), dont 10% des cas sont mortels sur le continent. Tous les groupes d’âge et les deux sexes sont également sensibles. Les enfants sont les plus touchés par les cas mortels en Afrique.
Symptômes différents cas actuels (année 2022) et en Afrique (variole du singe “historique”) :
Les premiers malades britanniques de la variole du singe en 2022 présentaient des symptômes distincts de ceux habituellement repérés dans les pays africains, selon une étude publiée le 2 juillet 2022 dans le publiée samedi dans le Lancet Infectious Diseases8. Les accès de fièvre et les lésions cutanées diffèrent. Alors qu’une poussée de fièvre était considérée comme quasiment systématique dans la variole du singe en Afrique de l’ouest, où cette affection était jusqu’alors circonscrite, à peine plus de la moitié des patients étudiés au Royaume-Uni en ont eu, remarque cette étude. Réalisé auprès d’une cinquantaine de malades, ce travail, encore limité, est l’un des premiers à caractériser les spécificités cliniques de l’épidémie actuelle de variole du singe. Non seulement les accès de fièvre sont moins fréquents, mais ils apparaissent aussi nettement moins longs et nécessitent beaucoup moins d’hospitalisations. Quant aux lésions typiques de la maladie, elles se concentrent le plus souvent autour des parties génitales. Dans les cas précédents, elles étaient généralement plus vastes, atteignant par exemple le visage ou la nuque. Pour autant, ces symptômes différents ne veulent pas dire que l’épidémie actuelle est due à une nouvelle version du virus, comme le soulignent d’autres chercheurs. “Il n’y a pas de modification génétique majeure” dans les virus séquencés chez les patients actuels, a remarqué le pneumologue Hugh Adler. Il avance qu’en Afrique, de nombreux cas, sans fièvre ou avec des lésions limitées, n’ont peut-être pas été détectés, biaisant les comparaisons.
Complications
Les complications incluent l’encéphalite, la déshydratation (souvent la principale complication), les maladies oculaires, les surinfections bactériennes, la septicémie et l’anémie9.
Personnes à risque
Les personnes atteintes du VIH/SIDA sont plus à risque de souffrir de complications de la variole du singe10. Près de la moitié (40%) des patients étudiés dans une étude de The Lancet publiée en juillet 2022 étaient ainsi infectés par le VIH11. Mais en août 2020 il était pour le moment impossible de savoir s’il y a un lien direct ou une simple corrélation.
Diagnostic
Le diagnostic est établi sur la base de l’anamnèse (histoire du patient), des symptômes cliniques et méthodes de laboratoire.
Test PCR
Comme pour le coronavirus et d’autres agents pathogènes, la détection se fait souvent à l’aide d’un échantillon prélevé sur la personne concernée par un test appelé PCR. Si le virus de la variole du singe est présent, son patrimoine génétique est multiplié de manière ciblée dans un appareil spécial et peut ensuite être facilement détecté.
Traitements & Vaccin
Les symptômes et les éventuelles infections bactériennes secondaires sont traités, il n’existe pas de traitement spécifique contre la variole du singe. En règle générale, le traitement est d’abord symptomatique.
Mais des médicaments antiviraux suivants sont mentionnés dans la littérature pour traiter la variole du singe12 :
– Le tecovirimate (Tpoxx®, Tecovirimat SIGA). Ce médicament est autorisé aux États-Unis et dans l’UE pour le traitement des infections par le virus de la variole (variole du singe, de l’homme et de la vache), il n’est pas autorisé en Suisse (état en mai 2022). Un vaccin de 3e génération (vaccin vivant non réplicatif c’est-à-dire ne se répliquant pas dans l’organisme humain) est autorisé en Europe depuis juillet 2013 et indiqué contre la variole chez les adultes.
– Cidofovir et brincidofovir
– Anticorps (immunoglobulines)
Vaccin contre la variole (un seul dans le monde)
Selon des données historiques, le vaccin contre la variole protège bien contre la variole du singe – et ce, probablement à vie selon certaines sources. Les vaccins contre la variole s’avèrent efficaces à 85% contre la variole du singe13. La plupart des moins de 45 ans n’ont pas été vaccinés contre la variole, et les stocks de vaccins sont aujourd’hui très réduits. Mais comme l’efficacité de la vaccination contre la variole dure environ 30 ans, les personnes vaccinées contre la variole avant la fin des années 1970 ne sont actuellement plus vraiment protégées contre la variole et la variole du singe, en tout cas selon l’avis de certains spécialistes en immunologie14.
La vaccination avec le vaccin de la variole est donc considérée comme une mesure possible pour protéger au moins les personnes en contact avec des personnes infectées par la variole du singe. Selon Paul Hunter de l’Université d’East Anglia, cela aide “assez efficacement”. Des réserves sont donc disponibles et peuvent être utilisées pour les personnes en contact.
Vaccin dans l’UE
L’Agence européenne des médicaments (EMA) a approuvé le 22 juillet 2022 l’utilisation d’un vaccin contre la variole humaine pour étendre son utilisation contre la propagation de la variole du singe15. “Le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA a recommandé d’étendre l’indication du vaccin antivariolique Imvanex® pour inclure la protection des adultes contre la variole du singe”, a déclaré le régulateur européen dans un communiqué.
Dans l’Union Européenne (UE), le nom de marque du vaccin contre la variole est Imvamune® ou Imvanex® (un vaccin atténué), et aux États-Unis il se nomme Jynneos®. Le fabriquant de cet unique vaccin, portant différents noms, contre la variole du singe est danois, il s’agit de Bavarian Nordic. Le vaccin Imvanex est approuvé dans l’UE depuis 2013 pour la prévention de la variole. Il a été approuvé contre la variole du singe en raison de la similitude entre ce virus et le virus de la variole.
Autres pays :
En Suisse, il n’existe pas de vaccin disponible sur le marché (autorisé par Swissmedic, selon nos informations au 30 juillet 2022). Au Brésil, à la fin mai 2022 il n’existait pas de vaccin contre la variole disponible dans le pays autant dans le secteur public, le SUS, que privé16.
Prévention
– Éviter le contact avec les personnes malades et le matériel infectieux.
– Éviter le contact avec les animaux infectieux et leur viande. Si une transmission de l’humain à l’animal se produit, et que le virus se diffuse dans la population animale, il y a un risque que la maladie devienne endémique en Europe.
– Éviter les relations sexuelles avec une personne infectée. Plusieurs experts ont souligné que si ce virus pouvait être attrapé pendant une activité sexuelle, ce n’en est pas pour autant une maladie sexuellement transmissible. Cette transmission pourrait être due aux contacts intimes et rapprochés lors de rapports sexuels et non pas par le rapport sexuel en soi17.
– Isoler les personnes malades. L’ECDC recommande l’isolement de tous les cas jusqu’à ce que les lésions provoquées par la maladie “soient complètement guéries”.
– Désinfecter les mains et les surfaces.
– Utiliser des vêtements de protection, masques de protection, lunettes de protection, gants.
– Dans certains pays la vaccination contre la variole est disponible (lire paragraphe ci-dessus sous Traitements & Vaccination). Demandez conseil à votre médecin pour savoir si la vaccination contre la variole est recommandée ou non dans votre situation.
Noms anglais :
Monkeypox, MPX
Crédits photos & Infographies :
Adobe Stock, Pharmanetis Sàrl
Historique de la mise à jour – Dossier revu médicalement :
– 17.08.2024 (par Xavier Gruffat, pharmacien)
– 10.08.2022 (par Xavier Gruffat, pharmacien)
Références scientifiques et bibliographie :
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 10 août 2022
- Site en français Theconversation.com, article datant du 22 mai 2022, interview avec Camille Besombes, médecin infectiologue et doctorante dans l’unité d’Arnaud Fontanet, article accédé par Creapharma.ch le 28 mai 2022
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 22 juillet 2022.
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 23 mai 2022
- Eureka Alert (www.eurekalert.org), New clinical symptoms identified in largest international study series of confirmed monkeypox cases, 21 juillet 2022
- Site en allemand Pharmawiki.ch, le 23 mai 2022, accédé par Creapharma.ch le 23 mai 2022
- Site en français Theconversation.com, article datant du 22 mai 2022, interview avec Camille Besombes, médecin infectiologue et doctorante dans l’unité d’Arnaud Fontanet, article accédé par Creapharma.ch le 28 mai 2022
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 2 juillet 2022. News : Santé – Variole du singe: des symptômes plutôt différents en Europe
- Site en allemand Pharmawiki.ch, le 23 mai 2022, accédé par Creapharma.ch le 23 mai 2022
- Site en français Theconversation.com, article datant du 22 mai 2022, interview avec Camille Besombes, médecin infectiologue et doctorante dans l’unité d’Arnaud Fontanet, article accédé par Creapharma.ch le 28 mai 2022
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 10 août 2022
- Site en allemand Pharmawiki.ch, le 23 mai 2022, accédé par Creapharma.ch le 23 mai 2022
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 28 mai 2022
- Folha de S.Paulo, journal quotidien brésilien grand public de référence, édition du 28 mai 2022
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 22 juillet 2022
- Folha de S.Paulo, journal quotidien brésilien grand public de référence, édition du 28 mai 2022
- Agence de presse suisse Keystone-ATS, avec notre partenaire Pharmapro.ch qui est client de l’agence. Le 1er juin 2022