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Schizophrénie

Dernière mise à jour : 14.04.2024
Révision médicale : Xavier Gruffat, pharmacien


Résumé

Schizophrénie DéfinitionLa schizophrénie est une psychose grave, survenant chez le jeune adulte, caractérisée par la désagrégation de la personnalité et par une perte de contact avec la réalité. Des changements émotionnels, l’isolement et un comportement inhabituel peuvent signaler l’apparition de la maladie.
La schizophrénie se manifeste en particulier par des épisodes aigus de psychose, pouvant inclure des hallucinations visuelles et délire ainsi que divers symptômes chroniques se traduisant par des troubles affectifs, intellectuels et psychomoteurs. L’apparition de ce trouble mental survient généralement vers l’âge de 20 ans.

Les causes de cette affection complexe restent controversées mais la schizophrénie est considérée comme au moins partiellement héréditaire. On sait que si les deux parents sont atteints, le risque pour l’enfant de devenir schizophrène est évalué entre 40 et 68%.

Les principaux traitements de la schizophrénie sont médicamenteux (neuroleptiques ou antidépresseurs) ou une psychothérapie.

Définition

La schizophrénie est un trouble mental grave, une psychose, rencontrée surtout chez le jeune adulte. Ethymologiquement, schizo vient du grec ancien et désigne la séparation, tandis que phrène, signifie l’esprit.
Historique
Eugen Bleuler (1857-1939), psychiatre suisse a donné son nom à cette maladie, caractérisée par une dissociation mentale avec transformation de la personnalité. Les causes de cette psychose sont complexes et relèveraient de plusieurs facteurs, biologiques, sociologiques et psychologiques. Les patients ont vu leur traitement grandement évoluer. Autrefois internés et traités par des électrochocs, ils reçoivent dorénavant des médicaments psychotropes de la classe des neuroleptiques ou suivent une psychothérapie. Le premier nom de la schizophrénie était la dementia praecox

Epidémiologie

Monde
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la schizophrénie touche environ 0,5% à 1% de la population mondiale.

Suisse
En Suisse, environ 85’000 personnes selon des chiffres datant de début 2021. En Suisse les premiers signes de la maladie se manifestent entre 15 et 25 ans dans le 85% des nouveaux cas diagnostiqués chaque année1.

Hommes vs. femmes
En Suisse, parmi les patients, 57% sont des hommes et 43% des femmes. 30% des personnes souffrant de schizophrénie ne sont pas suivies. Mais lorsqu’il y a un traitement, les symptômes s’améliorent dans 80% des cas, selon l’association PositiveMinders citée par l’agence de presse suisse Keystone-ATS le 8 mars 2021.

Causes

Les causes de la maladie sont complexes et demeurent hypothétiques. Les causes seraient d’ordre biologique, sociologique et psychologique.

Causes biologiques et héréditaires : les schizophrènes souffrant d’hallucinations visuelles (troubles positifs), auraient une activité dopaminergique augmentée (la dopamine est une substance intervenant dans la transmission nerveuse). Les neuroleptiques (médicaments psychotropes) sont utilisés pour soulager ces malades.
Rôle des gènes
On sait que les gènes peuvent avoir un impact sur l’apparition de la schizophrénie. Chez des vrais jumeaux, si un jumeau est touché la probabilité que le second jumeau souffre de schizophrénie se situe entre 30% et 50%.
Il existerait au moins 108 gènes associés à la schizophrénie, selon le Schizophrenia Working Group of the Psychiatric Genomics Consortium. Début 2022, des centaines de gènes avaient été identifiés en lien avec la schizophrénie  d’une façon directe ou indirecte (développement du cerveau)2.
Dans une grande étude réalisée sur des jumeaux, des chercheurs de l’Université de Copenhague ont découvert que dans environ 79% des cas, la schizophrénie peut être expliquée par des causes génétiques. Plus de 30’000 paires de jumeaux nés après 1870 ont été étudiés grâce à la banque de données danoise Danish Twin Register. Cette étude a été publiée le 30 août 2017 online dans le journal scientifique Biological Psychiatry (DOI: 10.1016/j.biopsych.2017.08.017).
De plus en plus, les chercheurs comme ceux de l’Université de Genève en Suisse qui communiquaient à ce sujet en septembre 2018 pensent qu’une désynchronisation des neurones pourrait être la cause des symptômes neuropsychiques dont souffrent les patients.

Origines sociologiques et psychologiques : l’âge du malade n’ayant pas vraiment d’importance, il faudrait apparemment se tourner vers son enfance et son milieu social. Le malade aurait été fragilisé durant ses premières années par des perturbations affectives intenses dans ses relations familiales, notamment avec sa mère et parfois également avec son père. Puis sous le choc d’un événement tardif, mais pénible, la personne céderait à la maladie. D’autres facteurs sociaux sont à incriminer : l’isolement moral ainsi que des conditions sociales peu favorables. Autrement dit, des traumatismes physiques ou émotionnels pendant l’enfance pourraient être à l’origine de la schizophrénie3.

Origines “toxicologiques” : comme la consommation de cannabis, certains spécialistes estiment que le cannabis surtout si consommé en excès et régulièrement pourrait favoriser la schizophrénie. Il existe néanmoins toujours un débat controversé afin de savoir si le cannabis est un révélateur ou en est la cause profonde de la maladie.

Causes schizophrénie cannabis

L’inflammation : certains chercheurs estiment que la schizophrénie pourrait avoir, chez certains patients, une origine inflammatoire. En effet, des scientifiques ont observé que 40% des malades psychiatriques avaient des taux trop élevés de molécules typiques d’une réaction inflammatoire (ex. cytokine, protéine C réactive) dans leur sang.
C’est pourquoi des psychiatres n’hésitent plus à prescrire des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’aspirine ou le célécoxib pour compléter la thérapie de certaines maladies psychiatriques, notamment la dépression.

Un parasite. De nombreuses études ont montré une corrélation entre les personnes souffrant de schizophrénie et la présence du parasite Toxoplasma gondii, à l’origine de la toxoplasmose. Cela signifie que plus de personnes souffrant de schizophrénie présentent Toxoplasma gondii dans leur cerveau que ceux ne souffrant pas de schizophrénie. On peut notamment citer une étude réalisée sur des militaires américains publiée en 2008 dans le journal American Journal of Psychiatry (DOI : 10.1176/appi.ajp.2007.06081254).

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Personnes à risque

La maladie débute essentiellement chez l’adulte jeune, homme ou femme (entre 15 et 34 ans).

La schizophrénie pouvant être héréditaire, le risque de contracter la maladie est augmenté si un membre de la famille a été schizophrène.

Symptômes

Symptômes schizophrénieLa schizophrénie se caractérise par des troubles de la personnalité, comme des hallucinations ou un retrait social (forme d’autisme), ainsi que des réactions émotives extrêmes sans rapport avec le contexte (rire lors d’un décès, etc.). Il y a une perte de contact avec la réalité.
Les trois symptômes caractéristiques de la maladie sont la dissociation, le délire et l’autisme.
Dissociation
La dissociation touche les domaines intellectuel (troubles de la pensée, incohérence pour s’exprimer), affectif, par l’expression de sentiments contradictoires (sans rapport avec le contexte) et psychomoteur (maniérisme : mouvements physiques dépourvus de naturel, allant d’un comportement catatonique à des mouvements excessifs).

Symptômes “positifs” (délires)
Lors de ses délires ou “troubles positifs”, le malade souffre d’hallucinations fréquentes, il peut entendre des voix. Il aura l’impression d’être contrôlé par des forces extérieures et se dépersonnalise totalement. Il vit dans une atmosphère d’angoisse.

Symptômes “négatifs” (forme d’autisme)
Lors de ses “troubles ou symptômes négatifs”, le patient se renferme sur lui et se coupe du monde extérieur. Il est alors effacé, replié sur lui-même et dans son propre monde. Le temps passé avec les amis et la famille peut soudainement diminuer. Les conversations sont évitées. Des symptômes négatifs sont notamment parler sur un ton plat, l’absence de contact visuel et un langage corporel rigide.

Manque de concentration
Le travail scolaire, l’emploi et les responsabilités domestiques peuvent commencer à être négligés alors que les pensées s’éloignent de la réalité.

Apparition des symptômes : 
Les symptômes se manifestent souvent lentement et s’aggravent sur une période de plusieurs mois ou années.

Premiers symptômes : 
Les sautes d’humeur peuvent devenir plus fréquentes lorsqu’une personne entre dans les premiers stades de la schizophrénie. Elle peut sembler plus irritable ou plus en colère. La peur du monde environnant peut s’accroître. Les soupçons peuvent se transformer en paranoïa.

Âge apparition de la maladie : 
L’apparition de la schizophrénie survient généralement vers l’âge de 20 ans. La schizophrénie a tendance à apparaître plus tôt chez les hommes, entre la fin de l’adolescence et le début de la vingtaine. Chez les femmes, la schizophrénie apparaît généralement entre le milieu de la vingtaine et le début de la trentaine (mais le trouble peut apparaître à tout âge).

Diagnostic

Le diagnostic est psychiatrique. Le médecin procédera à une anamnèse, comportant l’analyse des symptômes, du contexte de vie actuel du malade ainsi que de ses prédispositions familiales (histoire familiale, hérédité).

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Complications

La schizophrénie étant une psychose avec différents symptômes (délires, hallucinations, troubles affectifs) elle peut être lourde à porter par le malade lui-même et son entourage.

Grâce à la recherche, le développement des neuroleptiques (médicaments psychotropes) a pu soulager le malade et lui permettre de diminuer ses hallucinations et de retourner à la vie communautaire.

Voici les différentes évolutions possibles chez le schizophrène :

– Formes continues : aggravation progressive de la maladie.

– Formes oscillantes : phases de rémission entrecoupée par des phases d’aggravation de la maladie.

– Guérison : avec possibilité de retour à la vie communautaire, mais avec un soutien psychologique et thérapeutique indispensables.

– Etat suicidaire : le risque suicidaire chez le schizophrène est élevé.

Un patient schizophrène peut aussi être plus sujet à développer des addictions (ex. drogues comme dérivés de la morphine).

Diabète
La schizophrénie pourrait directement augmenter le risque de diabète, selon une étude publiée en janvier 2017 dans la revue spécialisée JAMA Psychiatry. Le risque de souffrir de diabète chez les personnes souffrant de schizophrénie serait 3 fois plus élevé que parmi la population générale. Ces résultats proviennent d’une étude réalisée par des chercheurs du King’s College à Londres. Les personnes atteintes de schizophrénie ont une espérance de vie inférieure, jusqu’à 30 ans, que le reste de la population notamment car cette maladie psychiatrique augmente le risque de souffrir d’infarctus du diabète et d’AVC avec le diabète comme facteur de risque important.

Covid-19
Les patients souffrant de schizophrénie ont 2,7 fois plus de risques de mourir de Covid-19, selon une étude publiée le 27 janvier 2021 dans le journal scientifique JAMA Psychiatry (DOI : 10.1001/jamapsychiatry.2020.4442). Une hypothèse est qu’il existe des différences génétiques entre les patients atteints de schizophrénie qui modifient la réponse immunitaire de leur corps, augmentant le risque d’inflammation grave du système respiratoire.

Quand consulter son médecin ?

La schizophrénie étant une maladie psychiatrique, en cas de symptômes typiques de la schizophrénie (hallucinations, autisme,…) consultez rapidement un médecin ou un psychiatre.

Traitements

Le traitement de la schizophrénie a énormément évolué au fil des années. Autrefois, les malades étaient internés sans l’espoir de retour à la vie communautaire. Ils recevaient également des électrochocs pour les calmer lorsqu’ils étaient en phase de délires.

De nos jours, les progrès scientifiques ont fait leur preuve en donnant la possibilité à ces malades, de retourner à la vie normale, en calmant leurs hallucinations et délires, grâce au développement des médicaments. Même s’il n’existe pas de traitement curatif de la schizophrénie, la maladie peut souvent être bien prise en charge grâce à une combinaison de médicaments, de thérapies de soutien et d’éducation pour la personne concernée et les membres de sa famille.

Il est toujours préférable de chercher à traiter la schizophrénie le plus tôt possible, c’est-à-dire dès l’apparition des symptômes.

Les patients sont également suivis par un soutien psychologique (par ex. psychothérapie).

Les médicaments et les soins contre la schizophrénie :

Les médicaments utilisés dans le traitement de la schizophrénie sont essentiellement les neuroleptiques et les antidépresseurs.

Neuroleptiques : font partie d’une grande classe thérapeutique, regroupant plusieurs classes médicamenteuses, les phénothiazines (chlorpromazine, thioridazine, fluphénazine, entre autres), les butyrophénones (halopéridol) et les médicaments atypiques aussi appelés antipsychotiques atypiques (rispéridone, clozapine, olanzapine, quétiapine, aripiprazole, brexpiprazole). Les neuroleptiques agissent sur la transmission nerveuse de la dopamine et soulagent le malade de ses délires hallucinatoires et de leurs troubles comportementaux.
Grâce aux neuroleptiques, la plupart des patients voient certains des symptômes graves de la schizophrénie comme les hallucinations s’arrêter après les premiers mois de traitement, mais les résultats à long terme sont médiocres avec une rechute chez 80% des patients, comme le relève l’Université de Manchester dans un communiqué de presse à propos d’une étude sur la prise élevée de compléments alimentaires à base de vitamines B et son impact positif sur les symptômes de la schizophrénie (lire davantage pour références sur l’étude ci-dessous sous Bons conseils).

Remarques sur les antipsychotiques (neuroleptiques) :
– Les traitements actuels de la schizophrénie, notamment les antipsychotiques, sont assez peu efficaces pour améliorer les symptômes cognitifs, comme le relève un communiqué de l’Université de Genève (UNIGE) en septembre 2018. Des nouveaux traitements réalisés notamment par l’UNIGE pourraient permettre de mieux agir sur les symptômes cognitifs.
– Lors de schizophrénie, le médicament le plus efficace est la clozapine, un antipsychotique atypique (comme la rispéridone). Toutefois, la clozapine peut mener à une agranulocytose, un grave effet secondaire4.

Antidépresseurs : la schizophrénie provoque parfois également des angoisses chez le malade. Cette classe de médicaments, même si le nom ne l’indique pas, soulage le schizophrène de ses angoisses.

Anti-inflammatoires et schizophrénie :
Comme la schizophrénie pourrait avoir une origine chez certains patients inflammatoire, certains médecins prescrivent des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’aspirine ou le célécoxib pour compléter la thérapie. Lire sous causes également pour davantage d’informations.
Certains médecins utilisent aussi parfois de la minocycline, un antibiotique présentant une action anti-inflammatoire. Dans ce cas ce n’est pas l’action antibiotique qui ferait l’effet mais bien ses propriétés anti-inflammatoires.

Bons conseils

– Il est essentiel de ne pas arrêter la médication de manière brutale et de suivre scrupuleusement les indications du médecin traitant.

Cinq sports « bons pour le dos »– Une étude de l’Université de Manchester (Angleterre) publiée en août 2016 dans la revue spécialisée Schizophrenia Bulletin a montré que la pratique régulière d’exercice physique aérobic permettait d’augmenter sur le long terme la santé mentale de personnes souffrant de schizophrénie. Les scientifiques ont observé qu’après 12 semaines d’exercice aérobic, comme par exemple la course à pied ou le vélo, le fonctionnement du cerveau des patients augmentait de façon significative. Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont combiné les données de 10 études cliniques publiées à ce sujet totalisant 385 patients.
Les patients qui pratiquaient de l’exercice physique et prenaient leurs médicaments contre la schizophrénie amélioraient davantage leur fonctionnement du cerveau que celle prenant seulement des médicaments. On sait que la schizophrénie peut mener à des troubles cognitifs et diminuer les performances du cerveau.

– Consommez de doses élevées de vitamine B si vous ou vos proches souffrez de schizophrénie. Selon une revue d’études (méta-analyse) réalisées au niveau mondial par l’Université de Manchester en Angleterre, la prise de vitamines B à dose élevée incluant les vitamines B6, B8 et B12 sous forme de complément alimentaire permet de réduire de façon significative les symptômes de la schizophrénie, davantage que les traitements standards seuls. Ce travail de recherche a été publié dans la revue spécialisée Psychological Medicine en février 2017.

Prévention

Causes schizophrénie cannabis– Le cannabis pouvant être un déclencheur de la schizophrénie, nous vous conseillons de ne pas consommer cette drogue, particulièrement si vous vous sentez fragile psychiquement ou si vous avez des antécédents de maladies psychiques dans votre famille.

– Selon des chercheurs suisses, des antioxydants pourraient être administrés à titre préventif aux jeunes touchés par un risque de schizophrénie. Ce sont les conclusions d’une étude publiée en mars 2013 au terme de travaux sur des souris.
L’équipe de Kim Do qui a mené cette recherche, responsable de l’Unité de recherche sur la schizophrénie du CHUV et professeur associée à l’Université de Lausanne (Suisse), a administré à des souriceaux un médicament antioxydant bien connu, l’acétylcystéine, utilisée notamment contre la bronchite et bien supportée par l’être humain.
Selon les scientifiques, l’administration d’acétylcystéine à de jeunes personnes à risque pourrait prévenir la schizophrénie. “Ces données soulignent la nécessité de développer des médicaments sur la base d’antioxydants qui pourraient être remis à des enfants et adolescents à risque”, estime le Dr Do dans un communiqué de l’éditeur Elsevier.

– En août 2015, une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Communications réalisée par des chercheurs de l’Université de Melbourne en Australie et de Vienne (MediUni Wien) en Autriche a montré que la prise quotidienne pendant 12 semaines par année d’oméga-3 (provenant notamment d’huile de poisson) permettait de réduire de 40% à 10% le nombre de cas de psychoses (ex. schizophrénie) chez des jeunes âgés de 13 à 25 ans. Cette étude a été réalisée sur 81 participants particulièrement à risque de psychose, présentant notamment des symptômes légers de troubles psychiques ou un risque génétique, comme par exemple des cas de psychose dans la famille.

– En 2024, une étude iranienne publiée dans Neuropsychopharmacology Reports5a montré que l’administration conjointe des probiotiques et de vitamine D améliore de manière significative les fonctions cognitives des patients schizophrènes dans un essai contrôlé randomisé en double aveugle. Le médicament probiotiques/vitamine D en gélule contenait Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus rhamnosus, Lactobacillus reuteri, Lactobacillus paracasei Bifidobacterium longum, Bacillus coagulans et 400 UI de vitamine D. Dans cette étude les chercheurs ont recruté un groupe de 70 volontaires, âgés de 18 à 65 ans, touchés par la schizophrénie.

News

La schizophrénie chez les hommes souvent causée par l’abus de cannabis (mai 2023)
Les vitamines B peuvent réduire les symptômes de la schizophrénie
Un bas taux de cortisol le matin au réveil pourrait être un signe de schizophrénie

Nom anglais : 
Schizophrenia

Crédits photos et infographie : 
Adobe Stock, Pharmanetis Sàrl

Historique des mises à jour – Dossier revu médicalement :
– 30.01.2024 (par Xavier Gruffat, pharmacien- mise à jour mineure)
– 29.08.2023 (par Xavier Gruffat, pharmacien)

Références scientifiques et bibliographie :

  1. Keystone-ATS, 6 mars 2021
  2. The Wall Street Journal, édition du 3 janvier 2022
  3. The Wall Street Journal, édition du 3 janvier 2022
  4. “100 wichtige Medikamente” – Infomed (2020)
  5. DOI : 10.1002/npr2.12431

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Informations sur la rédaction de cet article et la date de la dernière modification: 15.04.2024
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